A chaque fois qu’ils ont un événement heureux (ou malheureux), les intéressés prennent leurs aises sans penser à autrui.
Passe qu’ils débordent sur les trottoirs adjacents, ils vont encore plus loin en occupant toute la largueur de la chaussée, en y installant une tente, des chaises et des tables, et même un tréteau pour l’orchestre, appelé à se produire le soir . Et gare à celui qui fait mine de protester. Encore heureux qu’ils laissent les riverains rentrer chez eux. Quant aux détenteurs d’engins motorisés, ils n’ont qu’à emprunter un autre itinéraire. Mais où sont donc les autorités municipales. C’est la question qu’on se pose.
T.B.